Reprise

Ton pentacle tisse des liens, d'abord fin puis de plus en plus épais, qu'il envoie au Ka-Soleil de ton simulacre.
Tu fouilles parmi les centaines de souvenirs de l'humain que tu domines, et après 2 minutes de scan, tu déplores le fait que ça ne lui dise pas grand chose ...

quel connard ce sportif de merde, la prochaine fois jure je me reincarne dans un concervateur de musee...

petite question au fait j'ai un peu relu le thread et tu ne m'as pas dis qui a remporte les encheres..il me semble, tu me decris le debut mais g ete incapable de trouver la fin...

peux tu me recadrer cet element?

Citation :

quant à l'homme à la chevalière, au bout de 2 h, il va rejoindre les toilettes, après avoir remporté le glaive pour une somme astronomique face à son adversaire.

c'est donc l'homme à la chevalière, celui là même que tu as suivi dans les toilettes qui a remporté le glaive. Son "adversaire" étant l'homme situé à côté de la femme stricte (Valérie Delavedova).

L'homme à la chevalière : "Mais que faites vous monsieur ??? attendez votre tour je vous prie !!!"

HS excsue j'avais juste bloque sur le depart aux chiottes et ma reponse date d'il ya deux mois...

bon donc:
"veuillez excuser mon indelicatesse...je vous laisse finir et je m'entretiendrais avec vous a propos de votre recente acquisiton...je baisse juste mes lunettes pour qu'il voit mes yeux entierment rouges et je referme la porte...je reste a deux trois metres afin de lui parler des sa sortie...

Tu restes donc tout près de la porte. Pendant ce temps tu entends quelques bruits provenant des deux chambres aux enchères situés de part et d'autre du hall dans lequel tu te trouves, les doubles portes massives masquant le plus gros de l'effervescence.

Puis la serveuse entrouve les portes de la salle où tu te trouvais, ramenant son plateau avec quelques verres vers la buvette située dans l'angle, puis comme réalisant que tu attends, elle s'avance vers toi pour te proposer "un verre de champagne, Monsieur ?".

2 hommes mal fringués (probablement des fonctionnaires) passent par la porte d'entrée et marchent d'un pas nonchalant pour atteindre le couloir réservé au personnnel.

je lui reponds que ce serait un reel plaisir d'accepter un verre, mais uniquement si elle accepte de rester en ma compagnie le temps que je le sirote.

je garde quand meme discretement un oeil sur la porte des wc, dans le cas ou elle accepte...

Elle accepte volontiers ta proposition. Tu la vois se détendre un peu et reprendre un ton plus naturel que celui montré dans la salle. Elle pose son plateau sur le comptoir du bar et te tend le verre. puis, elle s'étire faisant ressortir les courbes de son corps gracile. Puis s'excuse pour ce comportement peu protocolaire et sourit. Elle a une silhouette très fine mais des muscles se dessinent un peu, la peau légèrement colorée exhale un parfum exotique d'ylang Ylang, un petit pendentif en or blanc terminé par une vaguelette souligne la finesse de son cou. Ses longs cheveux chatains clairs parsemés de quelques mèches plus blondes sont retenus par une "pince" tribale incrutée de fausses perles, la queue de cheval faisant ressortir le visage ovale de la serveuse et ses yeux gris-vert.

-"Venez vous souvent ici, il ne me semble jamais vous avoir vu ?"

je passe une demi seconde en vision ka, afin de voir son vrai etre(question en analysant le ka, peut on conaitre les emotions, ce que pens ela personne?en se concentrant sur son aura?comme dans shadowrun quoi?)

mes actions suivantes vont dependre de cette capacite ou pas...si on peut analyser...je reste en vision ka le temps d'analyser..sinon juste un coup d'oeil...

"je vois que vous arborez une magnifique pince, qui met en valeur le magnifique visage que vous avez...
puis je m'enquerir de son origine?"

je me rapproche un peu d'elle et la regarde longuement dans les yeux...
et je lance mon sort qui fait douter les gens...

-"Cette pince est d'origine africaine, d'afrique noire pour être précise. J'y ai rajouté les perles pour aigailler un peu l'ensemble et donner un côté classieux. "

Elle te rend le regard que tu lui tend.

Puis au bout d'un moment tu commences à psalmodier, elle semble être surprise par la langue que tu emploies. Pendant ce temps tu te concentres puis lance le sortilège. Le temps se passe. les yeux dans les yeux...

je maintiens le sort.

je continue a la regarder les yeux dans les yeux en attendant que le gros revienne des wc...a ce moment la je continue a maintenir le sort et fais signe au type de s'approcher.

Elle te regarde d'un air intrigué puis se rapproche tout lentement. Si tu ne dit mot, elle te demande si elle peut te débarasser de ton verre (s'il est terminé). peu de temps après, la porte s'ouvre et le viel homme à la chevalière sort des WC. après que tu lui ai demandé d'approcher, il s'avance d'un pas lourd mais alerte son visage impassible.

1 journaliste traverse le hall en trombe pour gagner la pièce où vous vous trouviez naguère.

je laisse ma carte à la jeune femme tout en lui rendant son verre, et lui demande son prénom. si elle me le donne je lui donne mon surnom "menthou" que soit disant on m'a done car je suis egyptologue;-)

je la laisse et je fais face au vieux.

- "alors monsieur, une bien belle acquisition vous avez fait là?
Etes vous juste collectionneur pour l'apparence ou faites vous partie des inities qui savent ce qu'est ce gladius ?"

"Je m'appelle Laura Armero. et vous vous appelez Menthou, c surprenant, de quelle origine cela vient il ?"

puis voyant que tu désires t'entretenir avec l'homme adjacent, elle reprend le verre et te remercie chaleureusement de cette discussion, plaçant ta carte dans la poche de sa chemise. elle se retire en inclinant la tête à vous deux.

l'homme à la chevalière s'avance.
Il te salue. et te demande : " à qui ais-je l'honneur ?".

puis répondant, après ta réponse, à ta question précédente(j'éditerai mon message quand il se présentera)

Il semble cependant intéressé quand tu évoques les mots "initiés" et "gladius". Il conssent être effectivement un collectionneur passionné d'armes anciennes mais pas escrimeur de grand talent à son grand regret. Il ne se sent donc pas l'âme de pédagogue en ce domaine. Quant à l'arme elle-même, il avoue ne pas connnaître le terme de "gladius". Et t'en demande la signification....
-"connaissez vous ce genre d'arme, celtique à ce qu'il me parait ?"

"monsieur, je n'ai pas pour habitude de servir d'enseignant, mais vous m'etes sympathique et vous devez le nouveau proprietaire d'un objet qui a longuement ete a mes cotes lors de mes voyages et aventures...
c'est pourquoi je suis pret a acceder a votre requete et ainsi partager mes connaissances.
je vous laisse mes coordonnees, pourquoi ne pas se voir chez vous autour un bon verre et ainsi partager nos connaissances d'inities?

Tu lui tend ta carte de visite (je ne savais pas que tu en possédais ? qu'y a t il écrit ?)

Il te tend la siennne sortie d'un petit étui métallique finnement décoré de 2 Lettrines. Tu peux y lire, Mr Edmond de Lusignan (ce qui te fais souvenir quelque chose ...) Il te dit qu'il en serait ravi et ...

Soudain tu sens tes jambes se raidir et tes membres s'engourdir presque instantanément. plus aucune sensation ne te parvient. ton esprit semble s'embrumer au fil des secondes. tu t'écroules par terre à moitié conscient.

le viel homme, qui essaie de retenir ta chute, est entraîné avec toi. Il parvient malgré tout à ne pas se blesser gravement en touchant le parquet du hall. Tu ne ressens aucune douleur à ton contact du bois ciré.

oui c'est vrai que je ne l'ai pas signale en fait j'ai du faire ça pour me preparer a investir le monde des encheres.
ya ecrit: Menthou, Historien spécialiste de l'Antiquité.
et mon numéro de tel fixe. surtout pas l'adresse.

ben je peux etre que spectateur vu que ça al'air d'un sort...

Tu te retrouves à présent complètement allongé par terre. Tous tes sens sont altérés : ta vue ne parvient à restituer complètement ce qui se passe alentours et ton esprit est comme dans du coton.

Tu sais que le vieux shnok appelle à l'aide, réclamant une ambulance de toute urgence. une voix féminine lui répond quelques instants plus tard que cela est fait.

3 ou 4 personnes t'entourent à 2 mètres de distances l'une d'entre elles te sur-élève la tête un peu.

Je te laisse me donner un peu les impressions de ton personnage et ce qu'il veut tenter (s'il le souhaite)

je sens que je vais défoncer la sale pûte de serveuse...

bon ben j'essaie de reprendre le contrôle en me concentrant le plus possible, genre pour essayer de sentir à nouveau mes membres et mes muscles...

Tu tentes de focaliser ton esprit sur ton bras, le forçant à se lever. toute ta concentration est nécessaire et l'effort est presque insoutenable. une tension interne de peur et de fureur s'agite sous les temps de ce simulacre. cette putain de main tremblotte.
"fais chier".
"bouge bouge ! BOUGE !"
soudain tu te rends compte que ta main s'est levée, péniblement, douloureusement mais pire encore la concentration constante pour la maintenir en l'air. mais tant pis, la douleur signifie toujours la vie. La vie vaut mieux que la dispersion.
tu tentes le coup avec ta jambe gauche, essayant de la faire fléchir.
Des secondes interminables s'egrennent, et la sueur perlent sur ce maudit front. Ce maudit corps faillible, imparfait...

Après 2 minutes, aucun résultat observable au niveau de la jambe, une sorte de paralysie t'empêche de la faire bouger et un engourdissemnt froid remonte le long de la cuisse, gagnant le tronc.

si j'ai bien compris mon esprit est lucide c mon corps qui ne repond plus...

je lance "armure de flamme", afin d'empecher les gens de me toucher sans se bruler...

Te concentrant au maximum, tu te prépares pour le lancement du sortilège. Le temps presse. Au pire si le parquet brûle, tu mourras et ainsi te libérant de cette gangue mortelle.

Puisant au fond de ta Sapience millénaire, tu fais ressurgir instantanément les paroles séculaires ritualisées afin que le verbe deviennne action. les mots doivent être dit en egyptien. pas de souci tu parles egyptien couramment. mais ... tu peines à articuler. les mots sortent de ta bouche avec une lenteur affligente et une difficulté manifeste. la brume qui assombrit tes fonctions motrices s'exercent aussi sur ta diction. mais peu importe. le tout est que cela doit fonctionner.

Mobilisant le Ka-feu ambiant, tu lui adresses un commandement afin de se plier à ta volonté. Tes sens-Ka perçoivent des effluves de chaleur qui se dirigent déjà vers toi.

Lentement tu imagines des étincelles de feu qui se rapprochent, leur condensation augmentant provoquera immédiatement leur matérialisation par des flammèches couvrant instantanément ton corps. l'énergie afflue vers toi et tu "sens" qu'elle te traverse. Quelque chose de bizarre se passe alors... Au lieu de se répartir autour du simulacre, le Ka semble rester dans le corps. pas de chaleur. Pas de combustion spontanée. Une absorption pure et simple. Que se passe t-il ?

aucune idee, j'y comprends rien...

Une idée te vient, le passage en VK devrait te dire quel est le problème. Malgré la fatigue, l'angoisse et le brouillard qui contrecarrent tes capacités intelllctuelles, tu parvient à te ressaisir. tes yeux commencent à se révulser. Ton corps entamme la série de spasmes lui permettant de percevoir l'imperceptible pour le commum des mortels. En arrière plan, des cris de "Oh mon dieu" "il fait une crise cardiaque" "quand arrive cette ambulance ?", "Est il Epileptique ?"

Une fois cela passé, tu sens quil va etre difficile de rester très lontemps en VK, mais juste un petit coup d'oeil devrait suffire. Tu perçois des traces de Ka-Feu, elles semblent rassemblées le long de ce qui semble être ton corps, plus particulièrement dans ce qui semble être ton intestin.