La Haute Magie

La Haute Magie

Le Sorcier / Le Magicien
Tel est en effet l’appellation de celui qui est parvenu à atteindre les sphères de la hautes Magie. Après la souvent longue période d’apprentissage de la Basse Magie, l’Initié voit s’ouvrir devant lui les Jardins des Arcanes, où il pourra récolter les fruits de la sapience.

A présent, il sait. Son expérience et les épreuves qu’il a dû braver lui ont appris à pénétrer les choses et à dépasser le stade illusoire de leur matérialité la plus basse, la plus rétrograde. La Haute Magie va lui apprendre à prendre conscience de la place des choses dans le monde et à les restituer par rapport à l’Axis Mundi, le Graal. Découvrir que tout élément de la réalité répond à une logique presque préétablie est pour lui une difficile passe à franchir, car cette révélation passe nécessairement par une remise en question de soi-même.

Le Sorcier est celui qui a assimilé l’énergie qui sous-tend les champs magiques. Il peut à présent les manipuler dans leur nature la plus profonde. Il va jouer avec des forces qui le dépassent bien souvent, au risque de s’égarer sur des impasses inextricables. Le plus grand risque pour lui sera de se laisser aller à une facilité salvatrice. Dans ce cas, il y perdra son identité et son âme. Parce que, métaphoriquement, il joue avec le diable, il se voit attribuer le titre de Sorcier.

Les Noms
Maintenant qu’il sait, le Sorcier modifie en substance sa perception du monde. Il réalise l’importance des Noms tout son périple au sein de la Haute Mie n’est destinée qu’à lui permettre de nommer à nouveau toutes ces choses dont il n’a perçu jusqu’à présent que la superficialité. Il doit retrouver les racines qui relient chaque élément, chaque être au centre de la Terre, qui est Genèse du Tout, la seule hypothèse possible à l’explication de la présence de toute chose.

Pour les néphilim, le Nom est l’équivalent du Ren égyptien, le Vrai Nom dont la connaissance permet de maîtriser toute matière et tout organisme. Le Ren forme les fondations de l’Hekau, la magie des Noms égyptienne, et par extension de la magie néphilim. connaître le Nom de quelque chose entend une domination totale sur cette chose et ouvre la voie à des manipulations presque infinies.

Le néphilim sait que la Haute Magie est définie par ces Noms, dont la maîtrise apporte des pouvoirs bien plus importants que ceux concédés par la Basse Magie, et que son évolution dans ce cercle passe par leur quête, quête qui par extension est la quête de son nom, qu’il oublia jadis lors de la chute de l’Atlantide. une fois ce Nom réappris, il pourra s’élancer sur les traces du Grand Secret.

Ainsi, pour lui, la Terre est une vaste toile de courants magiques tourbillonnant dont l’étude de l’agencement individuel permettra de connaître ce Nom si riche en pouvoirs.
Mais le Sorcier sait que tout le Savoir qu’il va accumuler durant sa quête palpitante ne représente que les prémices de ce qu’il va découvrir dans le Grand Secret, car il saisit l’importance réelle des choses, il sait aussi que nombres de secrets lui sont encore hermétiques. Mais les efforts auxquels il a consenti durant son apprentissage lui ont procuré la patience et la sapience.

Les Labyrinthes de Sapience
Comme il l’a été dit précédemment, le Sorcier ca devoir manipuler es forces hors des limites de l’entendement, qui altéreront bien souvent son environnement de manière irréversible. Hors de ces manipulations il risque bien souvent de s’égarer et de perdre tout ce en quoi il croit et destine son immortalité : l’Agartha. il prend le risque de s’enivrer de ces pouvoirs nouvellement acquis et d’en perdre le contrôle à tout jamais. L’ivresse magique le guette à tout moment et une dérive de sa part l’amènerait immanquablement aux rivages du Khaïba. C’est pourquoi pour se protéger de ces écarts qui pourraient lui être fatals, il devra dans sa quête s’engouffrer dans un Labyrinthe dont l’issue lui ouvrira les Portes du Grand Secret. Ainsi, ce garde-fou mystique qu’il s’érigera lui permettra de se remémorer constamment sa quête primordiale et le ramener sur les chemins de la sagesse.
Mais les Labyrinthes sont bien plus que de simples protection. Ils constituent pour lé néphilim une manière de vivre, d’approcher la réalité dans une perception guidée par une Voie précise. Car l’immensité de la sapience ne peut être amorcée sans une certaine rigueur, une conduite égale à celle d’un humble apprenti qui se sacrifie pour son art et se prive de nombre de plaisirs au nom du Savoir.

Dès son entrée dans le second cercle, le Sorcier devra faire un choix primordial, celui de la Voie et par conséquent du Labyrinthe qui le mènera au Grand Secret. C’est entre les mur de ce dédale qu’il évoluera jusqu’à sa sortie.

Ce choix est décisif car il déterminera l’orientation mystique du Déchu tout au long de sa quête de l’Agartha. il s’agit pour le personnage de prendre cette décision en accord avec ses aspirations, ses désirs et ses ambitions ; car une fois engagé dans le dédale de son Ka, il ne lui restera que deux issues : la réussite ou l’égarement.

La Voie du Dédale de l’Ame
Cette voie est celle du « moi », de l’introspection et de la recherche de la sapience dans l’exploration de son intimité. Elle consiste essentiellement à appréhender et maîtriser des potentialités, à se découvrir. Les forces magiques qui composent le néphilim doivent être comprises pour mieux être utilisées et ainsi assurer sa progression vers l’Agartha. On pourrait considérer que ce Labyrinthe est celui de l’égocentrisme. il n’en est rien. En effet, ceux qui l’ont choisi répondent à l’adage « Connais-toi toi-même avant de chercher à comprendre les autres ».

Le Dédale de l’Ame peut être représenté comme une spirale vivante, tourbillonnante qui descend jusqu’aux tréfonds du Ka du néphilim. il aura à résister à ses mouvements chaotiques, à se maintenir constamment debout pour progresser et ainsi , ne pas se laisser emporter par les flots continuels et diluviens qui agitent perpétuellement ce Dédale.

Les sortilèges liés à cette Voie concernent principalement le néphilim et l’apprentissage progressif de ses capacités, ainsi que sa faculté à réagir à son environnement.

La Voie Naturelle des Sentiers Sinueux
Cette voie, au contraire de la précédente, consiste en la quête de l’Agartha à travers la compréhension de la nature et de son fonctionnement. Elle implique la compréhension des mécanismes qui sous-tendent la bonne marche de l’évolution terrestre, et par extension la profonde osmose avec les champs magiques qui baignent le monde. Celui qui emprunte les Sentiers Sinueux est intimement persuadé qu’il se doit d’étudier les courants dont sa race est issue afin de comprendre pourquoi les néphilim existent et ce pourquoi ils sont là. Mais là où ils diffèrent de l’arcane X c’est qu’ils ne se restreignent pas à l’étude, qui n’est qu’une étape préliminaire. Ils ne cherchent qu’à faire qu’un avec ces courants magiques pour fusionner avec eux. C’est alors que la sapience les emplira.

Pour eux, les Sentiers Naturels sont une immense et épaisse forêt dans laquelle le questeur doit se frayer un chemin, vaincre quantité de dangers et éviter nombre de pièges. Entre ces arbres et cette nature qui temporairement et pour son salut lui seront hostiles, il entreverra la Flamme Sacrée qui le guidera vers son issue et par conséquent vers l’Agartha.

Les sortilèges affiliés à cette Voie sont bien sûr de nature à manipuler les champs magiques pour altérer l’environnement, souvent irréversiblement.

La Voie Tortueuse du Labyrinthe Schématique
C’est peut-être l’une des Voies les plus ardues dans ses ambitions. En effet, elle repose sur la parfaite compréhension des schémas cosmiques sur lesquels reposent le monde. Celui qui l’emprunte a la volonté de saisir les tenants et aboutissants de la réalité, ce vers quoi elle tend et donc où elle s’achemine. il cherchera à percer les desseins des choses et de son environnement. Somme toute, on pourrait résumer cette quête à la recherche du « pourquoi ?» et du « comment ?».

Le Labyrinthe Schématique est difficilement représentable, car il repose sur des critères bien trop vastes et d’une rare complexité qui empêchent toutes mise en image. On peut cependant s’avancer à l’imaginer comme un vide, sorte de néant percé de quelques lueurs éphémères vers les quelles le néphilim approche, espérant qu’il s’agira de la Flamme de la sapience.

Les sortilèges de cette Voie sont propices au rassemblement de connaissances artificielles qui vont à l’encontre des principes élémentaires du Savoir. Ainsi, le Déchu cherchera à accomplir des activités intellectuelles qui lui apporteront le Savoir auquel il n’aurait autrement aucun accès.

La Voie Axiale des Principes Egarants
Les néphilim qui ont décidé de privilégier ce chemin vers le Grand Secret cherchent à découvrir la Pure sapience. Par ce terme on entendra la Savoir de la Vérité, qui perce et meurtrit le mensonge et les illusions. Le Déchu, dès l’entrée du Labyrinthe derrière lui, découvre le monde dans ce qu’il a de plus sombre, de plus sale. Mais il sait que c’est au prix de ces douloureuses contemplations qu’il forgera son Ka et pourra accéder à l’Agartha.

C’est dans la mise à l’épreuve perpétuelle de son être que se terre la sapience. Le néphilim n’aura de cesse de chercher à se blesser en se dévoilant du masque de cette illusion dorée dont beaucoup des siens se vêtissent. Il comprendra la Vérité de la douleur, de la mort et de la souffrance. Ce Labyrinthe est un véritable pèlerinage initiatique, difficile et harassant. Mais la Jérusalem de la sapience l’attend au bout du chemin.

Cette Voie peut être représentée comme une corde raide sur laquelle le néphilim jouera le funambule. Autour de lui le vide l’attend, prête à le happer. Il réalise la précarité de sa position, ce qui ne fait que lui donner plus de force encore, l’accrochant avec la détermination du preux à cette attache de l’Agartha.

La Voie Primitive de la Spirale d’Elévation
Cette Voie regroupe les néphilim qui ont choisi d’atteindre le Seuil du Grand Secret à travers l’altération de leur être. En effet, ils sont persuadés, à raison certainement, que la déchéance qu’ont subis les Kaïm ne se résume pas à la nécessité de s’incarner dans un simulacre, mas est inscrite dans leur pentacle qui est à présent sali, souillé. A ce moment, ils n’auront de cesse de transformer leur être, d’améliorer à la fois leur Ka et leur enveloppe charnelle pour expérimenter de nouvelles conditions d’existences (et cela même si celles-ci sont bien souvent éphémères), pour tendre à une certaine perfection. Ils n’affecteront pas qu’eux-mêmes, mais altéreront et nettoieront leur environnement à l’aide de leurs sortilèges, pour de leurs efforts purifier les champs magiques. Leur quête n’est dès lors que changement, modification et continuelle mutation de l’être et de son environnement.

Pour ceux qui ont choisis cette Voie, la Spirale d’Elévation peut être représentée comme un sentier gravissant une montagne abrupte ont le sommet se noie dans d’opaques masses nuageuses. Le questeur doit faire preuve d’acharnement et de courage pour entrevoir la cime.

Les sortilèges de la Spirale d’Elévation tendent à permettre au simulacre du néphilim de vivre des expériences surnaturelles, ou alors de modifier son environnement brutalement et dans de grandes proportions.

Les Etapes Labyrinthiques
Chacun des dédales présentés ci-dessus est traditionnellement lui-même subdivisé en cinq étapes déterminantes qui sont autant de passes difficiles dans le cheminement du Néphilim vers le Grand Secret. Bien sûr, rien ne distingue matériellement ces étapes ; il s’agit simplement de conventions chez les mages pour se repérer dans une sorte de micro-hiérarchie de la Haute Magie.

Ludiquement, les étapes des labyrinthes ont une grande importance car elles déterminent clairement le « niveau » de savoir qu’à atteint le Néphilim dans le Cercle. Ainsi, dans la Haute Magie, les sortilèges seront classés selon deux paramètres. Le premier sera la Voie à laquelle le sortilège s’apparente généralement. Cela n’implique néanmoins nullement qu’un personnage ne pourra pas apprendre des sortilèges n’appartenant pas à sa Voie, mais cela lui sera plus difficile de par le décalage entre l’enseignement qu’il suit et les effets du sortilège (techniquement, tous les sortilèges extérieurs à la Voie choisie voient leur seuil majoré de 20 %). Le deuxième paramètre sera l’étape à laquelle correspond ce sortilège. Pour chaque étape, on trouvera deux sortilèges. Il est possible pour le Sorcier d’apprendre des sortilèges d’une étape qu’il n’a pas encore atteinte, et cela même s’il dispose de la compétence de Haute Magie suffisante. Ainsi, il est important de noter que pour acquérir un sortilège de Haute Magie, il est à la fois nécessaire de posséder un pourcentage égal ou supérieur au seuil du sortilège et d’avoir franchi entièrement (c’est-à-dire avoir appris les deux sortilèges correspondants) les étapes préliminaires. Cela reflète le fait que dans les Hautes Sphères du second cercle, les sortilèges ne sont plus simplement des effets disparates et individuels, mais bien des parties intégrantes d’un Grand Tout. Il en va de même pour les sortilèges n’appartenant pas à la Voie empruntée. Il est donc compréhensible qu’avant de vouloir apprendre des sortilèges extérieurs à son Labyrinthe, il est préférable d’avoir maîtrisé celui-ci.

Voici la description des cinq étapes propres à tous les Labyrinthes. Notez cependant que dans le vocable de chaque Voie la description peut légèrement différer pour s’adapter aux considérations du Labyrinthe. Le fond reste cependant le même dans tous les cas.

Le Porche : il s’agit de l’entrée dans le Labyrinthe. Ici, les premiers pas sont encore guidés, et le chemin est balisé. L’avancée est généralement assurée, habile. Les enseignement qui sont ici délivrés sont les principes généraux de la lignes de conduite à adopter. Cette étape rassemble les sortilèges ayant un seuil compris entre 0 % et 20 %.

Le Carrefour : c’est l’heure des premières décisions, des premiers choix, qui seront cruciaux pour la bonne marche des événements à venir. Le Néphilim peut déjà se perdre s’il emprunte une mauvaise direction, et devra rebrousser chemin s’il ne s’est pas déjà perdu dans le multiples impasses qui s’offrent à lui. Cette étape rassemble les sortilèges ayant un seuil compris entre 21 % et 40 %.

Le Cœur : le Néphilim atteint le centre palpitant de son Labyrinthe intérieur. Devant lui s’offrent de nombreuses opportunités, entre lesquelles il devra choisir. S’il se trompe ici, il risque par mégarde de revenir sur ses pas. Parmi tous les couloirs qui se dressent devant ses pieds, un seul est le bon. Il devra puiser dans toutes les ressources de sa sapience pour que son instinct puisse devenir une muse bénéfique. Cette étape rassemble les sortilèges ayant un seuil compris entre 41 % et 60 %.

Le Fil : le questeur a découvert à présent le chemin qui le mènera à la sortie du Labyrinthe. C’est un fil qui va le guider dans les méandres de ces couloirs vides et froids. Mais ce fil d’Ariane est mince et fragile, tout comme la flamme vacillante de sapience qui brûle dans le pentacle du Déchu. Les forces qu’il manipule en ces moments chercheront à couper cette corde salvatrice et à éteindre cette flamme. Il devra faire preuve de grande détermination pour se protéger contre tous ces périls. Cette étape rassemble les sortilèges ayant un seuil compris entre 61 % et 80 %.

L’Epreuve : c’est la dernière embûche qui sépare le Néphilim de la sortie. C’est un moment déterminant dans sa quête de l’Agartha, car il devra abattre ses cartes pour vaincre ce danger. Devant lui se tiendra le Minotaure, qui prendra la forme de la tentation. Le Néphilim se sentira accablé par tous les sacrifices qu’il a faits durant sa quête,, se lamentera sur son sortilège, craintif devant ce Titan. Nombre de Déchus rebroussent ici chemin, terrifiés par ce monstre qui se terre dans leur pentacle et cet affrontement intérieur. Ils fuient alors, s’égarant à tout jamais dans le dédale, couvant le fol espoir de pouvoir un jour vaincre la créature. Cette étape rassemble les sortilèges ayant un seuil compris entre 81 % et 100 %.

Les Symboles
Comme il l’a fait dans le premier cercle, le Sorcier doit se parer des Symboles de la Hautes Magie, qui sont en quelques sortes les signes de son appartenance à cette science occulte.

Les Couleurs : le Gueule et l’Argent
Ce sont là les deux couleurs de la Haute Magie. Le Gueule (le rouge) est une couleur forte, pleine de connotation brutale et violentes. Elle reflète parfaitement la puissance des forces que le mage va être amené à manipuler. Le Gueule est une couleur brûlante, chatoyante, qui se rapproche de l’écarlate. elle est guerrière, et montre bien le combat que le Néphilim va mener lors de son périple labyrinthique. Si elle se rapproche du sang, le liquide vital, c’est pour montrer la nécessité de cette quête pour le Déchu. Si cette couleur venait à s’évaporer, il en mourrait.

L’Argent est une couleur brillante, noble. Elle est précieuse, et traduit la richesse intérieure du Néphilim arrivé dans les arcanes de la Hautes Magie. Elle brille dans la nuit, ce qui permet au Néphilim de se guider dans les ténèbres de son dédale. Dans la surface argentée, il pourra aussi voir son visage encore impur, ce qui le poussera à l’humilité, vertu sans laquelle il s’égarerai dans son orgueil.

L’Attribut : l’Ecu
C’est l’Attribut dont devra se munir le Sorcier dans sa quête. L’Ecu, qui symbolise l’enseignement de la Haute Magie, le protégera des multiples revers de la Fortune. Il le dressera face aux dangers que constitueront les tentations qui s’élèveront sur son chemin, et saura en temps voulu se cacher derrière lui. Car le Sorcier devra apprendre la discrétion, s’insinuer subrepticement en des lieux qui devraient lui être défendues, pour pouvoir contempler et prendre connaissance des Noms sur lesquels s’appuient son enseignement. Et dans l’ultime embûche de son dédale, l’Epreuve, il se munira de lui pour affronter le monstre gardien de l’Issue.

Mais le bouclier sera aussi son blason part lequel il se fera connaître, lui et sa quête. Il y arborera sa Voie, car il ne renie nullement son choix, pris avec beaucoup de sagesse et après mûres réflexions. Il est fier de son choix, et l’affiche ouvertement aux yeux de trous ces Frères.

Les Sortilèges
Les sortilèges composants les sphères de la Haute Magie son nettement plus complexes que leurs semblables du premier cercle. Leurs effets sont souvent bien plus impressionnants , et affectent l’environnement de façon irréversible parfois. Le Sorcier doit par conséquent faire preuve de prudence lorsqu’il manipule ces forces, car elles auraient vite fait sinon de se retourner contre lui.

Dans leur complexité, ces sortilèges ont souvent des effets doubles, à long terme que n’envisageait peut-être pas le Sorcier de prime abord. Il ne devra jamais oublier que lorsqu’il utilise la Haute Magie, il se dresse littéralement contre les lois naturelles, qu’il enfreint et qu’il brise.

Il est à noter que les sortilèges dans leurs description ont deux paramètres supplémentaires. Il s’agit de l’étape et de la Voie, qui le définissent par rapport aux Labyrinthes.

Vous pouvez trouver une liste des sortilèges de la Haute Magie (2eme Cercle) en cliquant sur ce lien